En effet, cinq suspects, qui se trouvent un peu partout en France, il ne s'agit pas d'un groupe vivant au même endroit, âgées entre 18 et 29 ans ont été arrêtés et placés en garde à vue, comme le rapporte RTL. La liberté même d'expression, dans notre pays, permet à chacune et chacun de pouvoir critiquer une religion. […] Qu'elle critique les religions, je suis d'accord, mais d'insulter et tout ce qui s'ensuit… Elle assume les conséquences de ce qu'elle a dit.» Une déclaration dénoncée cinq jours plus tard par la secrétaire d'Etat à l'Egalité femmes-hommes, Marlène Schiappa : «Je trouve que ce sont des propos criminels, des propos coupables, et je me bats contre cette idée selon laquelle une femme qui serait victime de violence, de cyberharcèlement, […] l'aurait cherché.», Mais le lendemain, sa collègue Nicole Belloubet lâche au micro d'Europe 1 une phrase qui suggère que Mila serait coupable d'atteinte à la liberté de conscience : «Dans une démocratie, une menace de mort est inacceptable, c'est absolument impossible. Sur son compte Instagram consacré à sa passion pour le chant, Mila, dans un live avec ses abonnés le 19 janvier, avait évoqué ses préférences sexuelles (elle est ouvertement lesbienne), avait écrit : « moi aussi, les rebeus c’est pas mon style » et avait éconduit un dragueur lourd, qui ne l’avait pas supporté. De les avoir dits sur les réseaux sociaux, parce que je n'avais pas réalisé l'ampleur que ça pourrait prendre, et de les avoir dits de manière aussi vulgaire, parce que j'aurais pu argumenter.» Elle ajoute : «Je tiens quand même à dire que je m'excuse un petit peu pour les personnes que j'ai pu blesser, qui pratiquent leur religion en paix. C'est quelque chose qui vient rompre avec le respect que l'on doit à l'autre, déclare-t-elle. Le 23 janvier, le procureur de la République de Vienne (Isère) ouvre à son encontre une enquête pour «incitation à la haine religieuse», classée sans suite une semaine plus tard. Milla Jasmine : La dernière publication de Milla Jasmine sur Instagram semble être destinée à Mujdat. Tout de même, Mila insiste sur le fait qu’elle n’a insulté personne et que c’était elle la victime de la haine depuis le début. Après ce commentaire, elle reçoit des avances « un peu lourdes » de la part d… Une vidéo virale, qui entraîne des réactions en chaîne. Coco vous en a fait un petit florilège. Dans un premier temps, elle reçoit des insultes « classiques, comme sale pute », dit dans un premier temps Floriane. Vous m'insultez et vous me menacez de mort, vous n'êtes bons qu'à ça." J'ai dit ce que je pensais, j'ai totalement le droit, je regrette pas du tout. (…) Elle a ensuite publié un message public, sur le réseau social Instagram pour prendre la défense de Mila. Elle a ensuite publié un message public, sur le réseau social Instagram pour prendre la défense de Mila. Dans sa vidéo postée sur Instagram, Mila raconte qu'elle a éconduit un jeune homme de confession musulmane, et qu'il l'a alors insultée avec des propos homophobes. Mila avait expliqué avoir tenu ces propos après avoir été insultée et harcelée par des internautes, venus l'inquiéter après qu'elle a refusé les avances de l'un d'eux. Depuis ses propos sur l'islam, la jeune fille est menacée. 26 janvier 2020 3 minutes de lecture. On vous laisse la découvrir par ici. ©Capture d'écran Instagram. » déclare Richard Malka, l’avocat de la jeune fille \u2b07\ufe0f#CàVous pic.twitter.com/onp1Zb4QRq. Interrogée il y a une dizaine de jours par CheckNews, l'adolescente indiquait y avoir «donné [son] avis» sur l'islam : «J'ai dit que je n'aimais pas ça et que c'était une religion de haine, rien de plus.», Lorsqu'elle quitte le live, le débat a déjà dérapé. Insulter la religion, c’est pas bien poli. Mila, Iséroise de 16 ans, apparaît dans une vidéo en live depuis son compte et se met à converser avec une trentaine de ses 9 000 abonnés. Mila avait déclaré à l'époque ne rien regretter sur le fond. Cet article a été lu . Toute personne se croyant autorisé à menacer de mort, qu'on sache que ça peut vous valoir une garde à vue, qu'on peut venir vous chercher à l'autre bout de la France, vous ramenez à Paris, que vous aurez peut-être un contrôle judiciaire, une convocation devant un tribunal correctionnel, un jugement et il y a déjà eu des peines de prison ferme. Une adolescente de la région lyonnaise a attaqué de manière virulente la religion musulmane sur Instagram. Mila s'était expliqué sur son affaire il y a un an, le 3 février 2020 sur le plateau de l'émission "Quotidien" (TMC) animée par Yann Barthès. Mila est alors prise pour cible sur différents réseaux sociaux, dont Twitter, où la vidéo est massivement partagée. J'ai lu l'article de Marianne, qui explique qu'un mec l'a draguée sur Instagram, alors qu'elle est ouvertement lesbienne, et qu'il l'a insultée en utilisant la religion, quand elle l'a rembarré. Ce dernier l'a ensuite insulté et elle a répliqué avec des messages blasphématoires et insultants. Imprimer ou envoyer cet article. Mais ils ne sont pas les seuls à avoir menacé Mila. Toi tu es connue, tout le monde te déteste (dont moi) et tout le monde veut ta peau, ce n’est qu’une question de temps.". La vidéo va alors très rapidement être relayée sur internet. Son avocat a précisé qu'il estimait que le nombre de 50 000 courriers de ce type avait largement été dépassé. Tous auraient proféré des menaces de mort à l'encontre de la jeune fille via les réseaux sociaux. Mila, une lycéenne de 16 ans, a exprimé son aversion pour les religions et en particulier l'islam lors d'un live sur Instagram. La jeune fille avait proféré des insultes à l'encontre de l'islam sur Instagram. Critiquant en particulier l'Islam, elle a été victime d'une campagne de haine et même de menaces de mort. Mila avait répliqué dans sa vidéo postée sur les réseaux sociaux en qualifiant le Coran de “religion de haine” et précisé “je déteste toutes les religions”.MEDIASCOPE Et c'est cela qui est grave.», Le même jour, interpellé par le banc LR au Sénat, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, clarifie la position gouvernementale : «Il n'existe pas, dans ce pays, […] il n'existera jamais sous l'autorité de ce gouvernement, de délit de blasphème, a-t-il assuré. Depuis le 19 janvier, la lycéenne Mila est la cible d’insultes et de menaces de viols et de mort après avoir tenu des propos injurieux envers l’islam. L'avocat précise qu'il en a des milliers en sa possession. / 15 . Mila est notre invitée dans #Quotidien pour sa seule et unique interview. Les Anges 8 : Milla … Plus d'un an après le début de cette affaire, son avocat, Me Richard Malka a dévoilé le contenu de certaines missives reçues par Mila. La vidéo plus complète de Mila pour bien comprendre d'où c'est parti. pic.twitter.com/cZ1VqObHrR. Imprimer ou envoyer cet article. Cette histoire a débuté le 19 janvier, journée pendant laquelle l'un de ces abonnés s'est mis à la draguer de manière insistante. Sur son compte Instagram, la jeune lycéenne a posté une vidéo dans laquelle elle critique violemment l’Islam avant d’insulter les musulmans. Mila avait raconté dans sa vidéo postée sur Instagram avoir refusé les avances et éconduit un jeune homme de confession musulmane qui l’a insultée avec des propos homophobes. Comme beaucoup d'adolescentes de son âge, Mila, 16 ans, a pris l'habitude de partager ses avis et ses humeurs sur Instagram. Sur Twitter, Marine Le Pen saute sur l'occasion : «Peut-on compter sur le gouvernement d'Emmanuel Macron pour défendre nos valeurs et nos libertés ? 8.2k. Le 19 janvier dernier, en réponse à des insultes homophobes publiées en commentaire sur son compte Instagram, Mila avait violemment insulté l’islam dans une story. «Ça m'a révoltée et c'est à ce moment-là que j'ai décidé de faire cette story», se justifie la lycéenne. Diffusée sur Instagram et reprise sur Twitter, cet extrait a provoqué un torrent d'insultes et de menaces à l'encontre de l'adolescente. C'est d'ailleurs la mère de l'adolescente qui se charge de "sélectionner" les plus virulentes pour les envoyer à la police, explique Me Richard Malka. Pour rappel, Mila, 17 ans, est toujours menacée pour avoir insultée l'Islam. Et la jeune Mila peut parfaitement critiquer, […] et il est inacceptable, insupportable même, que certains, au nom de l'institution qu'ils représentent, aient pu laisser penser que cela était interdit.» Quelques heures plus tard, la ministre de la Justice rétropédale, concède «une expression maladroite ou lapidaire» et explique, laborieusement : «Je n'ai pas voulu remettre en cause le droit de critiquer une religion […]. Mila y tient les propos suivants : «Je déteste la religion, le Coran est une religion de haine, l'islam c'est de la merde. Peu après son arrivée dans les épisodes des Marseillais vs le Reste du Monde, Milla Jasmine avait pris la parole afin de mettre certaines choses au clair. Le 23 janvier sur Sud Radio, le délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, condamne les menaces de mort mais invoque la responsabilité de l'adolescente : «Je dis que cette fille, elle sait très bien ce qu'elle fait. En revanche, elle avait exprimé des regrets sur la forme, la vulgarité qu'elle avait employée, et s'excusait d'avoir peut-être "blessé des personnes qui pratiquent leur religion en paix", mais rappelle que ses critiques ne visaient pas des personnes, mais bien les religions, l'Islam en particulier. Elle a … A LIRE Affaire Mila : nouvelle vague de soutien (et d’insultes) sur les réseaux sociaux * Charlotte d’Ornellas est journaliste à “Valeurs actuelles”. Et cette infraction peut être grave parce qu'elle conduit à la haine ou au rejet de l'autre. Mila se trouve au cœur d'une polémique grandissante après avoir publié le 18 janvier sur Instagram une vidéo dans laquelle elle critique l'islam. … 298k Followers, 543 Following, 421 Posts - See Instagram photos and videos from Mennel (@mennel_official) Et Mila ne va plus à l’école. Malgré ça, elle défend la liberté d’expression. L'extrait est enregistré, diffusé massivement sur les réseaux sociaux et visionné plus d'un million de fois. La vie de Mila a changé le 18 janvier à cause d'une vidéo publiée sur Instagram. Et ce même jour, cinq personnes ont été interpellées. Twitter a suspendu dimanche soir le compte Twitter (21.000 abonnés) de Mila, une jeune fille, encore régulièrement menacée de mort après avoir publié, en janvier 2019, une vidéo sur Instagram dans laquelle elle avait critiqué l'islam en des termes très crus, après avoir elle-même été insultée … Mila ne revient pas en cours le 20 janvier. EXPLICATIONS - Mila, 16 ans, est la cible de menaces de mort et de viol pour avoir critiqué l'islam sur les réseaux sociaux. Mais les choses ne se sont pas du tout déroulées comme prévu. On peut pas être raciste d'une religion. La jeune fille qui avait critiqué ouvertement l'islam et insulté Allah lors d'une vidéo sur Instagram en janvier 2020 reçoit au quotidien des menaces. Extraits : «On va te retrouver et t'égorger sale chienne», «Si je te croise dans la rue je vais te faire avaler tous les organes», «Je vais tellement te faire saigner le visage que tu ne pourras pas t'exprimer». Cela commence par une jeune lycéenne de l’Isère, qui confie son amour du chant sur Instagram. Les menaces pleuvent depuis sa prise de position. Du reste, la jeune Mila répondait ici, avec la virulence et l’engagement propre à son âge, à un abonné de son compte Instagram qui l’avait draguée avant de l’insulter et de l’accuser de racisme. Que devient Mila, la jeune femme harcelée pour ses propos sur l'Islam ? Jessica et Thibault auraient insulté Milla Jasmine dans son dos, en parlant d’elle à Mujdat sur le tournage des Marseillais vs le Reste du Monde. Dans notre démocratie, ça n'est pas possible. Des propos qui font bondir l'internaute du début : «Il a commencé à m'insulter, "sale pute", "sale lesbienne", "sale raciste", et il m'a beaucoup insultée au nom d'Allah. La polémique en ligne est devenue un débat public et politique. Mila, lors de son interview dans l’émission «Quotidien», sur la chaîne TMC, lundi. / 15 . une vidéo publiée en direct critiqué la religion musulmane et son prophète en janvier 2020. un Gersois en Occitanie âgé de 23 ans a été condamné à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis, "Mila n'a pas été exclue" de son établissement, "sa sécurité n'était plus garantie" selon Florence Parly, Mila : l'adolescente à nouveau menacée de mort après une vidéo sur l'islam, une enquête est ouverte, Mila exclue de son nouveau lycée militaire : son père très remonté écrit une lettre au colonel, Occitanie : il est condamné pour avoir menacé de mort Mila après ses propos sur l'islam, "Je ne regrette rien sur le fond" : dans "Quotidien", Mila s'explique pour la première fois, Affaire Mila : Ségolène Royale juge la jeune fille irrespectueuse et irréfléchie, Mila, 16 ans, menacée de viol et de mort après avoir dit "l'islam c'est de la merde". Mercredi, dans une tribune publiée par Marianne, le tout nouveau président du CFCM, Mohammed Moussaoui, désavoue Abdallah Zekri : «Nous devons accepter que l'islam soit critiqué y compris dans ses principes et fondements.» Tout en ajoutant : «Trop souvent, le droit de critiquer notre religion sert de paravent à la mise à l'index des musulmans.». Je suis pas raciste, mais pas du tout. Débarque alors un internaute qui, aux dires de la jeune lycéenne, commence à la draguer «un peu lourdement» par l'intermédiaire de commentaires. P our avoir insulté l’islam sur son compte Instagram, une lycéenne de 16 ans, en Isère, est traînée dans la boue, on lui souhaite de brûler en enfer, elle est menacée de mort, de viol, d’égorgement, ses données personnelles sont dévoilées, le nom de son lycée aussi. Mila, menacée de mort pour avoir insulté l’islam : « Elle l’a cherché », estime le CFCM. Les Anges 8 : quand Milla se prend pour Kim Kardashian sur Instagram . 2.5m Followers, 132 Following, 281 Posts - See Instagram photos and videos from KAMILA (@kamilaofficiel) Il a ainsi, en présentant ses excuses aux téléspectateurs pour les gros mots employés, lu certains mots postés anonymement sur les réseaux sociaux. Le hashtag #JesuisMila a ensuite été lancé pour la soutenir. Ils encourent jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. Mila répond : « pareil pour moi, pas mon style ». Diffusée sur Instagram et reprise sur Twitter, cet extrait a provoqué un torrent d'insultes et de menaces à l'encontre de l'adolescente. Le 18 janvier 2020, elle discute avec ses abonnés « de tout un tas de choses », notamment de préférences amoureuses. Mila, 16 ans, n’a toujours pas pu retourner à l’école, deux semaines après la polémique que ses propos sur l’islam ont générée. Son avocat décrit le calvaire qu'endure au quotidien Mila aujourd'hui âgée de 17 ans. De « Charlie » à Mila, le droit au blasphème Par Michel Guerrin. Le live se poursuit, Mila entame alors une discussion avec une autre abonnée, qui l'interroge sur ses préférences sexuelles. La jeune Mila, 17 ans aujourd'hui avait lors d'une vidéo publiée en direct critiqué la religion musulmane et son prophète en janvier 2020, après qu'un homme l'a provoquée et insultée. A LIRE Dans un premier temps, elle reçoit des insultes « classiques, comme sale pute », dit dans un premier temps Floriane. Alors qu'ils ne s'aimaient pas, Haneia et Illan ont fini par passer la nuit ensemble. Puis se reprend « ça ne devrait pas être classique ! C'est à ce moment-là que le sujet a basculé sur la religion.» Cette première vidéo est depuis introuvable. Ou encore "Sale p...te, j’espère que les pourritures comme toi finiront décapitées comme l’autre”. Dans sa vidéo, publiée le 18 janvier 2020 sur Instagram, Mila avait raconté avoir éconduit un jeune homme de confession musulmane qui l’avait alors insultée avec des propos homophobes. Mila, menacée de mort pour avoir insulté l’islam : « Elle l’a cherché », estime le CFCM. Mila, 16 ans, a subi une vague d'insultes et de menaces sur les réseaux sociaux après avoir critiqué l'islam, "religion de haine", et les croyances en général. La polémique s'est emparée de Twitter où des personnalités l'ont soutenue alors que certains internautes dénonçaient ses propos. En dix jours, des propos tenus sur Instagram sont devenus une «affaire ... La justice considère ici que Mila a insulté une religion et non ses adeptes. 1. Des menaces qu'elle reçoit tous les jours depuis presque un an. Internet Mila publie un dessin, se fait insulter et Twitter bloque son compte . Affaire Mila : d’Instagram au Sénat, itinéraire d’une polémique Le 18 janvier, Mila, 16 ans, critique l’islam de façon virulente sur son compte personnel. S’en suit un harcèlement de masse sur les réseaux sociaux envers l’adolescente. Le camp #JeNeSuisPasMila contre-attaque. Et depuis la jeune fille vit sous le coup d'incessantes menaces de mort et de viol en son encontre. L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave, mais ça n'a pas à voir avec la menace.» Tollé immédiat, à droite notamment. D'ailleurs un Gersois en Occitanie âgé de 23 ans a été condamné à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis, pour des menaces de mort à l'encontre de Mila et de sa maman. On vous explique tout ça ! Qui sème le vent récolte la tempête. Et aussi : "Fais-toi violer", "Je vais te violer dans ta tombe", "Meurs, sale p...te de merde". Je lui ai dit que c'était pareil pour moi», retracera-t-elle chez Yann Barthès. LMLCVSMONDE : Milla insultée par Nadège et Aurélie, elle riposte violemment ! Cette vidéo est devenue rapidement virale et Mila s’est retrouvée au cœur d’une affaire embarrassante. J'ai voulu dire que, dans notre démocratie, les injures ou les discriminations en raison de l'appartenance, c'est une infraction. Avant d'ajouter : "Il n'y a pas d'impunité". 2. Official Mila Kunis Ce phénomène n'est pas marginal : les messages d'insultes et de menaces sont "likés" par centaines, par milliers. 2. Ce jour-là, l'adolescente iséroise de 16 ans s'est filmée en direct et a discuté avec des internautes. Elle a … Le hashtag #JeSuisMila apparaît pour prendre sa défense. Sur son compte Instagram, elle échange avec ses abonnés le 19 janvier, quand l'un d'eux se met à la draguer de manière insistante. Floriane Gouget (Avranches) reçoit des menaces de mort après avoir apporté son soutien à Mila qui avait critiqué l’Islam. Elle s'appelle Mila, elle a 16 ans et déjà des avis bien tranchés. Interviewée par le site Bellica, Mila se défend : «Contrairement à eux, je n’ai insulté personne, ni menacé, ni appelé à la violence envers qui que ce soit. «Je lui ai dit que j'étais lesbienne. Elle s’appelle Clairement, la réponse est NON ! Mila, 16 ans, a subi une vague d’insultes et de menaces sur les réseaux sociaux après avoir critiqué l’islam, qu’elle a qualifié de « religion de haine » dans une vidéo posté Certains font référence à l'assassinat de Samuel Paty : "Un jour viendra où tu te feras tuer pour tes paroles ma belle, même un professeur d’Histoire inconnu s’est fait égorger pour des caricatures. Lors d'un live sur son compte Instagram, une lycéenne de 16 ans a parlé de sa sexualité et de sa relation avec la religion. Une jeune fille de 16 ans a été la cible d'insultes et de menaces après avoir tenu des propos injurieux envers l'islam. Il était l'invité de l'émission C à vous sur France 5 ce mardi 9 février. L'opposition s'indigne. Réseaux sociaux Le compte Twitter de la jeune Mila, toujours autant insultée en ligne, suspendu par Twitter qui l'accusait de... harcèlement . Milla Jasmine : La dernière publication de Milla Jasmine sur Instagram semble être destinée à Mujdat. . 26 janvier 2020 3 minutes de lecture. Et il a tenu à citer le contenu de certains messages pour que les gens se rendent compte de la violence des propos proférés contre sa cliente. Les menaces pleuvent depuis sa prise de position. Des « sale française », « sale pute » et « sale gouine » qui l’ont probablement motivée à répondre. "Le Point" revient sur l'affaire et a pris de ses nouvelles. 1. Philippe Kerlouan Philippe Kerlouan Catégorie : Editoriaux. Les menaces pleuvent depuis sa prise de position. D’après Mila, plusieurs faux comptes ont été créés et ont usurpé son identité «pour dire des choses complètement folles, et même pour dire que je vais me suicider». Lorsque l’affaire intervient, Mila, une adolescente de 16 ans souhaitant devenir chanteuse, possède un compte sur Instagram, où elle est active[1]. Et d'ailleurs il en profite pour passer un message. Commentant l'affaire Mila, adolescente harcelée pour avoir insulté l'islam, la ministre de la Justice a qualifié «d'atteinte à la liberté de conscience» le fait d'insulter une religion, tout en condamnant les menaces de mort. La messagerie Instagram de Mila se remplit d'un flot d'injures, d'appels au lynchage et de menaces de mort. Et il précise : "Twitter ne vous protégera pas.". Elle m'a demandé quel était mon style de filles, m'a dit qu'elle, personnellement, n'aimait pas particulièrement les Rebeus et les Noires. Cet article a été lu . Il y a des gens qui vont encore s'exciter, j'en ai rien à foutre. Le lendemain, Christophe Castaner indique que «Mila et sa famille font l'objet d'une vigilance particulière, pour les protéger, de la part de la police nationale». Mais ce dernier commence alors à Cela commence par une jeune lycéenne de l’Isère, qui confie son amour du chant sur Instagram. Je dis ce que je pense, putain. Elle leur montre sa nouvelle couleur de cheveux, papote. Elle continue son direct en le recadrant. DEFERLEMENT DE HAINE après une vidéo Instagram Tout commence le 20 janvier. Cette séquence où, rappelons-le, Mila ne fait qu'exercer un droit fondamental à critiquer les dogmes, a énormément tourné sur les réseaux sociaux et lui a valu insultes et menaces de mort. Le 21 septembre 2020 à 20:13:00 Karma_Why a écrit - page 2 - Topic FREEZE CORLEONE = antisémitisme MILA = liberté d'expression du 21-09-2020 20:00:38 sur les forums de jeuxvideo.com Le 3 février, interviewée dans l'émission Quotidien sur TMC où elle apparaît calme et réfléchie, Mila persiste, tout en nuançant : «Je ne regrette absolument pas mes propos, il y a deux choses que je regrette. 8.2k. Je n'ai jamais voulu viser des êtres humains, j'ai simplement voulu blasphémer, […] parler d'une religion.» Elle dit que sa vie est «clairement en pause». Les menaces prenant un caractère religieux, Mila poste alors sur sa "story" Instagram un message dans lequel elle rejette toutes les religions, et se fait apostropher par des internautes qui l'accusent d'insulter "notre dieu Allah, le seul et l'unique" en lui souhaitant de "brûler en enfer". Le 18 janvier, Mila, 16 ans, critique l’islam de façon virulente sur son compte personnel. "Il est bon que la peur change de camp, que la peur soit du côté de ceux qui commettent des délits et pas de ceux qui subissent des délits. Merci, au revoir.». Elles auraient insulté, menacé Mila, de manière anonyme, depuis le clavier de leur ordinateur, sur les réseaux sociaux. C'est cette seconde vidéo, enregistrée le même jour sur Instagram, qui met définitivement le feu aux poudres. » À lire aussi. «Je n'ai pas hésité à remettre à sa place cette personne, parce que ce n'est pas la première fois que ça m'arrive», précisera l'adolescente le 3 février dans l'émission Quotidien, sur la chaîne TMC. #Mila : les personnes placées en garde pour menaces de mort risquent la prison.\ud83d\udcac « Twitter ne vous protègera pas ! Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul. LMLCVSMONDE : Milla insultée par Nadège et Aurélie, elle riposte violemment ! Mujdat revient sur les accusations de Milla Jasmine. S’il faut résumer la suite des arguments, ça donne : elle est jeune, c’est pas bien poli tout ça, « son erreur a été de n’avoir pas bien compris ce que sont les réseaux sociaux », elle a bien appris la leçon sur le droit au blasphème, etc. Choquée par ce harcèlement et ces insultes, Mila finira par poster une vidéo en “story” sur Instagram où elle critiquera et insultera l’islam. Depuis, elle subit insultes et menaces de … votre soutien est précieux. Mila, une jeune fille de 16 ans, a posté une vidéo sur son compte Instagram pour faire un coup de gueule. Puis se reprend « ça ne devrait pas être classique ! C'est suite à cela qu'elle a posté ses vidéos, sous le coup de la colère. » À lire aussi. Mila, une jeune fille de 16 ans, subit une vague d'insultes homophobes et de menaces physiques depuis qu'elle s'en est pris à l'islam dans une courte vidéo publiée sur Instagram. Mila, 16 ans, en classe de seconde, est en train de discuter sur son compte Instagram avec des abonnés, "quand l'un d'eux se met à la draguer de manière insistante". L'adresse et les coordonnées de son établissement scolaire sont divulguées sur les réseaux sociaux, d'aucuns appelant à «faire péter le standard» du lycée. Trois, quatre, cinq internautes lui envoient une salve de menaces et de propos haineux («30 à 100 messages par personne», selon elle). Mila, une jeune fille de 16 ans, subit une vague d'insultes homophobes et de menaces physiques depuis qu'elle s'en est pris à l'islam dans une courte vidéo publiée sur Instagram. Les Anges 8 : quand Milla se prend pour Kim Kardashian sur Instagram . Une de ses abonnées qui est lesbienne, comme elle, affirme ne pas vraiment être attirée par les filles « rebeus », c’est-à-dire arabes. Mila, lycéenne de 16 ans, se retrouve en danger de mort pour avoir critiqué la dimension haineuse des religions en général et de l’islam en particulier, en réponse à un harcèlement lesbophobe et misogyne qu’elle venait de subir de la part d’internautes musulmans sur instagram. La jeune fille qui avait critiqué ouvertement l'islam et insulté Allah lors d'une vidéo sur Instagram en janvier 2020 reçoit au quotidien des menaces. (Capture d'écran TMC), L'histoire commence le 18 janvier, en direct de la planète Instagram. Celle pour «menaces de mort, menace de commettre un crime et harcèlement», confiée à la section de recherches de la gendarmerie, est, elle, toujours en cours. Elle a ensuite publié un message public, sur le réseau social Instagram pour prendre la défense de Mila. Et c'est évidemment un des points importants qui justifient cette liberté de conscience.». Jeudi, le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, annonce avoir trouvé une «solution de rescolarisation» pour la lycéenne, sans donner de précision. On vous laisse la découvrir par ici. 1.1m Followers, 179 Following, 877 Posts - See Instagram photos and videos from Cyril Hanouna (@cyrilhanouna) Philippe Kerlouan Philippe Kerlouan Catégorie : Editoriaux. La vidéo, enregistrée par des internautes puis diffusée par des utilisateurs de Twitter a entraîné des milliers de
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